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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 06:15

Les croyances qui nous limitent!

 

« Ce ne sont pas les choses qui nous nuisent, mais le regard que nous portons sur elles ». Epictète

 

 

Notre système de pensées s’appuie sur des croyances, qui de fait, accompagnent notre vie et influencent notre rapport au monde dans nos choix et prises de décisions. Ce à quoi nous croyons fermement a tendance à se réaliser, car d’une certaine manière nous le validons. Ce qui est pensé et vécu dans l’imaginaire, devient physique, c’est pourquoi divers schémas et scénarios sont assez récurrents dans notre vie. Nous pouvons apprendre à contrôler nos croyances par l’imagination. Si nous sommes convaincus que la vie est « difficile » à vivre, elle nous paraîtra « difficile » à vivre, à contrario, si nous pensons qu’elle est « facile », elle nous paraîtra « facile » à vivre quoi qu’il arrive.

 

Si l’on a toutes ses facultés mentales et physiques et même si l’on n'a pas de prédisposition, le fait de se croire incapable de faire ou d’agir dans un domaine précis, est une croyance « limitante », induite par une vision dévalorisante que l’on a de soi, comme par exemple, se croire incapable de réussir dans les études.

Comment est-il possible de réussir avec une telle croyance ancrée en soi? Cette croyance provient d’une « conviction » acquise durant l’enfance, sans doute influencée par le regard de l’adulte qui pensait que l’on était incapable de réussir dans cette voie. Des enfants pourtant très intelligents sont parfois considérés comme des cancres, alors qu’ils ont simplement un « blocage ». Il est très difficile pour l’enfant de se détacher du regard que l’adulte lui porte, car il donne du crédit à ce qu’il dit. Il ne peut donc pas envisager qu’il se trompe.

Cette perception dévalorisante de soi qui a été intégrée, impacte sur l’estime et la confiance en soi, et peut mener vers la résignation en se soumettant à une réalité qui n’est pourtant que subjective et qui ne reflète en rien, notre réel potentiel.

 

Nous laissons trop souvent notre émotionnel influencer nos décisions

 

Nous ne pouvons être objectifs sous l'emprise d'une émotion. La peur par exemple, peut déclencher en soi une menace imaginaire de danger comme se faire rejeter, pas aimé(e)..., ce qui nous pousse à trouver toutes sortes d’excuses pour ne pas agir. Nous laissons nos émotions influencer nos décisions, alors qu’elles devraient être basées sur la reconnaissance de nos compétences.

Il est donc important d’identifier les croyances qui nous limitent et de se détacher d’un schéma de pensées dévalorisant, qui influence négativement l’image de soi. Il est essentiel de bannir du langage tout jugement qui peut être une limitation à l’action: « je ne vais pas y arriver, je ne suis pas capable, je suis nul(e), je ne suis pas assez bien, je ne suis pas digne d’être aimé(e)… » Cette pression est, d’une certaine manière une entrave à la réussite de toute entreprise. De plus, elle affecte profondément l’estime de soi.

 

N’acquiert-on pas une liberté d’être, en s’émancipant du regard de l’autre ?

 

Quel que soit le regard qui nous est porté, ne le laissons pas nous affecter et avoir une emprise sur nous. Nous devons accepter que l’autre puisse avoir une vision de nous, à laquelle nous ne sommes nullement obligés d’adhérer, ni même de donner du « crédit », car il peut transférer ou projeter sur nous ses propres peurs. Ce qui explique qu’il peut ne pas nous sentir à la hauteur et nous dévaloriser, mais cela lui appartient et rien ne nous oblige à nous identifier au regard qu’il nous porte.

Ce n’est pas parce que l’autre est dans ses peurs ou que l’on ne réponde pas à ses attentes, que l’on n'en est pas pour le moins aimé. Rien ne nous impose d’être « parfait », de réussir tout ce que nous entreprenons sans faire « d’erreur », d’être au top tout le temps, de réussir dans tous les domaines…!

 

Nous pouvons changer notre perception du monde !

 

Si nous ne pouvons pas changer le monde, nous avons le pouvoir de changer notre perception sur le monde qui nous entoure. Imaginons qu’il nous soit possible de l’inventer. En mettant plus de fluidité, d’optimisme et de souplesse dans notre vie, elle nous semblerait sans doute plus facile, n’est-ce pas ? Le changement doit venir de l’intérieur, en nous-mêmes et non de l’extérieur. En changeant, notre monde change aussi, mais il nous faut remettre en cause les croyances limitantes pour cela!

En les remettant en cause, nous pouvons aborder toute nouvelle expérience avec un esprit ouvert, ayant pour effet de nous permettre de renouer et/ou de favoriser la confiance en soi et aussi, de se centrer sur notre potentiel en n’hésitant pas à se valoriser : « je peux réussir, je suis capable, j’ai des ressources en moi …. »

 

« La croyance que je considère comme vraie est celle qui me permet de faire le meilleur usage de ma force, elle me donne les meilleurs moyens de transformer mes vertus en action. »- André Gide

 

Il ne tient qu’à nous d’agir avec positivisme, n’oublions pas que nos pensées influencent nos actions. « Nous sommes ce que nous pensons », disait Bouddha

Même si nous rencontrons des difficultés, elles nous aident à expérimenter. Il y a toujours un enseignement à tirer en toute chose. Il est parfois difficile de réussir du premier coup, mais se dire : « je ne peux pas.. », c’est se mettre une limite, il est donc préférable de faire de son mieux en y mettant une conviction de réussite. Ne pas se dire non plus : « je ne prends jamais les bonnes décisions », car se sont toujours les bonnes au moment où nous les prenons. Après coup il ne sert à rien de porter un jugement sur nos actions, « j’aurai dû…, j’ai pas … », car nous pourrons toujours trouver à redire.

Nous ne sommes pas obligés de garder toutes les croyances que l’on nous a inculqué, ni même toutes celles que nous avons mis en place nous-mêmes !

 

C’est fou ce que notre système de pensées peut abriter comme croyances limitantes ! Juste pour n’en citer que quelques-unes unes :

« L’argent ne fait pas le bonheur » ! Pourtant, il peut y contribuer et pour certains, il fait leur bonheur!

« Chat échaudé craint l’eau froide » ! Ce n’est pas parce qu’il a eu une mauvaise expérience qu’il faut craindre de la renouveler!

« Il n’est pas possible de tout avoir »! « TOUT » n’est-il pas relatif à chacun ? Le TOUT peut représenter un « pas grand chose » et tenir en une « main », il peut aussi être en nous, sans besoin de rien posséder.

« La vie est difficile » ! La vie n’est-elle pas que l’on en fait ?

« Le temps, c’est de l’argent » ! Le temps, c’est le temps, non ?

« Il faut travailler dur pour gagner sa vie »« ! Pourquoi travailler dur ?

 

Nous pouvons bien évidemment garder les croyances qui nous portent et nous débarrasser de celles qui « handicapent » notre vie. Celles auxquelles nous-nous identifions sont les plus difficiles à changer, car elles sont « tenaces ». Elles sont facilement identifiables, car se sont souvent celles où fait suite une justification comme le « parce que » : « je suis nul(e), parce que… », « je ne peux pas… , parce que je n’y arriverai jamais, …». Il est souhaitable de prendre conscience que de tels propos impactent sur le bien-être.

 

Pour dés-ancrer une croyance, il ne faut pas hésiter à la remettre en cause et à en rechercher l’origine.

 

Des généralisations peuvent abriter certaines croyances ou justifications. Il se peut qu’à un moment donné, nous l’ayons ancré nous-mêmes sans même en prendre conscience. Par exemple lors d’une expérience douloureuse qui a généré un sentiment de certitude vis à vis d'un ressenti, comme pour s’empêcher d’avoir de nouvelles déceptions ou frustrations. Il arrive qu’une rupture mal vécue, soit prise comme étant de sa « faute » : « c’est à cause de moi, je suis incapable de garder une relation… je gâche tout… ». Cette certitude « protège » afin d’éviter de se heurter à nouveau à ce type d’expérience, mais elle nous enlève l’envie de s’ouvrir à toute nouvelle opportunité : « qui peut s’intéresser à quelqu’un comme moi ? ».

Chaque fois que nous nous surprenons à avoir une croyance négative, il est bon de se « reprendre » comme lorsque nous avons des propos dévalorisants à notre égard et de mettre en place de nouvelles croyances en opposition. Par exemple à la place de : « Je suis nul(e) », remplacer par : « j’ai de la valeur, ou je suis quelqu’un de valeur », etc. Il y a forcément dans nos souvenirs, des moments où nous avions cette valeur. A chaque occasion, ne pas hésiter à l’ancrer davantage en les « affirmant » à haute voix et pourquoi pas, face à un miroir.

 

Nous avons la clé de notre bien-être et personne d’autre. Les croyances sont des certitudes qui influencent nos actions et attitudes, alors autant cultiver celles qui nous « grandissent ». Nous pouvons aborder la vie de manière simple, sans avoir à nous imposer une barre trop haute qui serait impossible à atteindre, en faisant simplement de notre mieux chaque jour.

 

N’oublions pas que ce a quoi l’on croit est une information donnée à notre cerveau qui l’utilise pour en faire une vérité.

 

« La croyance est une boussole qui nous guide vers notre but et qui nous garantit que nous l’atteindrons ». Anthony Robbins

 

Tout est possible à celui ou celle qui a la foi, il suffit parfois simplement d’oser !

 

«Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles ». Sénèque

 

 

Geneviève

http://www.edilivre.com/au-fil-de-mes-vers-genevieve-martin-boissy.html

 

 

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commentaires

A
Bonjour Geneviève,<br /> C'est en faisant une recherche sur les croyances limitantes que j'ai découvert votre blog. Une belle surprise! <br /> J'ai récemment commencé à travailler sur mes croyances et c'est un vrai soulagement d'en éliminer certaines ;-)<br /> Amicalement,<br /> Aurore
Répondre
G
Bonjour aurore,<br /> <br /> Je suis ravie que mon blog vous ait procuré une belle surprise et je vous remercie pour votre commentaire et témoignage, qui montre en effet que de lâcher des croyances &quot;limitantes&quot; est une libération. Bien à vous :-)
C
Le noumene precede le fenomene autrement dit que la vraie force se trouve
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G
Merci Charles pour votre commentaire: &quot;la vraie force se trouve?&quot; <br /> Bien à vous
V
Yes, you are correct. It is our way of thought that determines the smooth movement of our life. Many times an individual finds it difficult to face the hardships of life due to his or her negative attitude. If you have a positive attitude then you can guarantee a successful life.
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G
Bonjour Visit,<br /> <br /> Je vous remercie pour votre commentaire et je rejoins ce que vous évoquez. Nos actes sont le prolongement de notre pensée et en adoptant une manière de penser dite « positive », nous favorisons ainsi notre bien-être.<br /> <br /> Pour celles et ceux qui comme moi ne comprennent pas l’anglais, j’ai fait une traduction sur Google en souhaitant que votre commentaire soit bien restitué.<br /> <br /> Voici sa traduction en français : « Oui, vous avez raison. C'est notre façon de pensée qui détermine la fluidité du mouvement de notre vie. Plusieurs fois, une personne a du mal à faire face aux difficultés de la vie en raison de son attitude négative. Si vous avez une attitude positive, vous pouvez garantir une vie réussie. »<br /> <br /> Bien à vous
P
je comprend tout cela ,ces commentaires pourront eventuellement nous aider a construire notre vie.
Répondre
G
Bonjour Pierre et merci pour votre commentaire. Nous avons tout en nous pour nous rendre heureux ou malheureux, il faut parfois avoir le courage de &quot;SE&quot; &quot;regarder&quot; pour s'apercevoir que nous laissons trop souvent notre regard s'accrocher au passé qui n'est plus qu'une illusion.<br /> Bien à vous
M
Un tout grand merci pour ce texte encouragent
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G
Bonjour Mr ou Mme Martinez, <br /> Merci à vous pour votre commentaire qui me touche. <br /> Bien à vous
Y
Un grand Merci Geneviève! Ce que vous écrivez avec des exemples, est très riche...Ce sont des vérités que je connaissais dans l'ensemble, cependant, la façon que vous les révélez résonnent jusqu'à mon coeur qui en a tant besoin en ce moment...Oui, ça fait du bien de relire ces grandes vérités, encore et encore...Ce sont des enseignements essentiels à chaque être humain! Merci encore et au plaisir de vous relire!
Répondre
G
Merci à vous le plaisir est partagé. Je finalise un article &quot; L'instant présent, le trésor de la vie &quot;, que je mettrais sans doute dès demain en ligne.<br /> Bien à vous
Y
Merci encore!<br /> <br /> Au plaisir de vous relire et d'échanger de nouveau!
G
Je vous remercie Yolande, je trouve normal d'être &quot;présente&quot; autant qu'il m'est possible de le faire, pour répondre aux commentaires.<br /> <br /> En effet ce que vous évoquez ci-après est une réalité:<br /> « je crois aussi, que la peur de l'engagement, la manipulation pour arriver à ses fins, le manque de sensibilité face aux souffrances d'autrui, les tests .... »<br /> <br /> Derrière ces attitudes se cachent des blessures et l’ego n’est jamais loin. La question est de comprendre pourquoi nous attirons à nous ces personnes.<br /> Cela peut venir faire écho à un passé qui demande à être apaisé. Un ressenti peut en cacher plusieurs.<br /> <br /> Tout ce qui n’est pas compris a tendance à ce répéter, peut être est-ce pour que nous le &quot;dépassions&quot; .
Y
Merci Geneviève d'être aussi alerte et attentionnée pour répondre<br /> <br /> J'adhère dans votre sens, qu'une attirance peut être inconsciente...Sauf votre respect, je crois aussi, que la peur de l'engagement, la manipulation pour arriver à ses fins, le manque de sensibilité face aux souffrances d'autrui, les tests ....sont des réalités aussi je crois...Pour ma part, j'arrive mieux à les détecter qu’auparavant, en étant prudente, n'empêche que lorsque ça nous arrive, c'est douloureux quand-même...et nous nous demandons, quand, nous pourrons vivre des relations normales...
G
Absolument, il nous faut reconnaitre notre responsabilité dans ce qui nous arrive (qui a été attiré par nous souvent sans le vouloir consciemment, c'est souvent inconscient) et accepter cette étape de deuil qui passe par pleins d'émotions. Il faut parfois laisser le temps faire son œuvre.<br /> Sur ce que nous ne pouvons changer, nous avons le pouvoir de changer notre regard pour ne plus nous laisser affectés. <br /> <br /> Je vous rejoins, toute aide extérieure se doit d'être dans une bienveillance et dans l'accueil de ce qui a été vécu sans jugement, en ayant un regard neutre. La bienveillance commence déjà en l'ayant pour soi.<br /> Bien à vous
Y
J'aimerais seulement clarifier, que les premières étapes du deuil, soit la colère et le déni, la tristesse etc..sont nécessaires, il est important de les reconnaître et de les accepter, comme des étapes normales, avant de passer à une autre...Je crois. Ce n'est pas facile et toute aide bienveillante, sans jugement, est bénéfique. ..
Y
Oui et savoir profiter de ce temps, aussi douloureux soit-il, aussi longtemps qu'il est nécessaire, malgré les pressions de la société du genre: &quot;Un de perdu et 10 de retrouvés, y'é temps que tu fasses ton deuil, il n'en valait pas la peine, C'est ça la vie, c'était un salaud, un narcissique etc...&quot; Ce sont tous des commentaires banals qui empêchent la vraie guérison, celle d'accepter notre propre part de responsabilité, de changer en nous, ce que nous pouvons pour éviter de répéter ces expériences douloureuses et de lâcher prise sur ce qui appartient à l'autre..&quot; Bon dimanche!
G
Bonjour Yolande,<br /> <br /> Je rejoins globalement votre commentaire. Le temps est un facteur favorisant pour aider à &quot;gaie rire&quot; les blessures, mais nous sommes les seuils à pouvoir le faire. Il est une aide à pouvoir prendre du recul sur les évènements ou situations et à comprendre ce qui nous a été renvoyé pour ensuite lâcher-prise. Bien à vous
Y
Bonjour Geneviève,<br /> <br /> Je suis d'accord avec l'aspect conditionnement, comme pour les animaux. Et l'Amour?? À mon avis, il n'y a que le temps qui peut guérir ses blessures et nous prédisposer à reconnaître, d'une fois à l'autre, ses pièges, non?...Merci de votre attention!
G
Bonjour Yolande, je vous remercie pour votre commentaire.<br /> Nos croyances limitantes sont comme une corde invisible à laquelle nous sommes attachés à l'image de ce conte:<br /> <br /> L'histoire de la Corde!<br /> <br /> Un paysan, avec trois de ses ânes, se rendit au marché pour vendre sa récolte. La ville était loin… à plusieurs jours de marche.<br /> Le premier soir, il s’arrêta pour bivouaquer non loin de la maison d’un vieil ermite. Au moment d’attacher son dernier âne, il s’aperçut qu’il lui manquait une corde.<br /> « Si je n’attache pas mon âne, se dit-il, demain, il se sera sauvé dans la montagne ! »<br /> Il monta sur son âne, après avoir solidement attaché les deux autres, et prit la direction de la maison du vieil ermite.<br /> Arrivé-là, il demanda au vieil homme s’il n’avait pas une corde à lui donner.<br /> Le vieillard avait depuis longtemps fait vœu de pauvreté et n’avait pas la moindre corde, cependant, il s’adressa au paysan et lui dit :<br /> « Retourne à ton campement et, comme chaque jour, fait le geste de passer une corde autour du cou de ton âne, et n’oublie pas de feindre de l’attacher à un arbre. »<br /> Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le vieil homme.<br /> <br /> Le lendemain dès qu’il fut réveillé, le premier regard du paysan fut pour son âne. Il était toujours là !<br /> Après avoir chargé les trois baudets, il décida de se mettre en route, mais là, il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n’y fit : l’âne refusait de bouger.<br /> Désespéré, il retourna voir l’ermite et lui raconta sa mauvaise aventure.<br /> « As-tu pensé à enlever la corde ? » lui demanda-t-il.<br /> « Il n’y a pas de corde » répondit le paysan.<br /> « Pour toi oui, mais pour l’âne… »<br /> Le paysan retourna au campement et d’un ample mouvement, il mima le geste de<br /> retirer la corde. L’âne, sans aucune résistance, le suivit.<br /> L’âne croyait être attaché !…<br /> <br /> Ne nous moquons pas de cet âne :<br /> L’âne voit son maître jour après jour faire le geste de l’attacher avec une vraie corde.<br /> Et lorsque son maître fait le geste, il croit être attaché.<br /> Nous sommes souvent comme cet âne : ce qui a donné naissance à une croyance peut bien disparaître, la croyance, elle, demeure.<br /> Auteur inconnu<br /> <br /> Bien à vous<br /> SUPERVISION - http://viadeo.com/s/dgQ33
A
Article tellement vrai.
Répondre
G
Je vous remercie Aktayr pour votre commentaire.<br /> Bien à vous

Présentation

  • : Se-ressourcer
  • : Ce blog est axé sur le thème du développement-personnel, son contenu (articles et poèmes) est en rapport avec ce thème. Il peut être une aide à la réflexion, sur les questions que l'on se pose, au recentrage sur soi ... Chacun peut y puiser ce qui lui est utile. C'est un espace qui permet d'être "éclairé" sur une problématique, comme des peurs, des blocages qui empêchent d’agir pour parvenir à des buts. C'est une invitation à aller vers le changement, à repousser des limites afin de se dé passer, à mieux relativiser et à lâcher-prise…
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Profil

  • Geneviève MARTIN BOISSY
  • Je suis psychopraticienne de courant humaniste et auteure d'un recueil de poèmes: "Au fil de mes vers l'éveil sur soi". J'ai été référente et superviseur d'élèves en psychosomatothérapie et animatrice en relaxation. 
Cette citation me rejoint: «Quand changer et apprendre ne sont plus synonymes de recherche des défauts, des erreurs et des fautes, mais essentiellement quête des richesses, des potentialités et des qualités existantes, alors la démarche qui favorise cette évolution, peut devenir une fantastique opportunité de croissance offerte à l'intelligence humaine» Auteur inconnu
  • Je suis psychopraticienne de courant humaniste et auteure d'un recueil de poèmes: "Au fil de mes vers l'éveil sur soi". J'ai été référente et superviseur d'élèves en psychosomatothérapie et animatrice en relaxation. Cette citation me rejoint: «Quand changer et apprendre ne sont plus synonymes de recherche des défauts, des erreurs et des fautes, mais essentiellement quête des richesses, des potentialités et des qualités existantes, alors la démarche qui favorise cette évolution, peut devenir une fantastique opportunité de croissance offerte à l'intelligence humaine» Auteur inconnu

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